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Depuis 1830, De Buyer est spécialisé dans la conception et la fabrication d'ustensiles de cuisine et de pâtisserie, et met tradition et innovation au service de la gastronomie.
Installée depuis sa création au cœur du massif vosgien, dont elle est l'un des acteurs économiques, la manufacture a su, au fil du temps, adapter sa production aux attentes de la société de consommation et aux enjeux économiques de l'Histoire.
L'établissement métallurgique artisanal des premières décennies, qui fabriquait des articles de ménage en fer blanc, prend le tournant de la révolution industrielle à l'aube du 20e siècle. Cinquante ans plus tard, la mise sur le marché du premier autocuiseur révolutionnaire à haute-pression finit d'asseoir sa notoriété. Grâce à une activité ininterrompue, y compris durant les périodes les plus sombres, De Buyer a pu assurer la fourniture aux armées françaises d'une multitude d'ustensiles pour l'équipement du soldat. Aujourd'hui à l'écoute des professionnels et passionnés de cuisine, De Buyer, dans sa recherche d'excellence, érige l'ustensile au rang d'instrument culinaire haut de gamme, maillon indispensable de la culture gastronomique.
Grâce à un parfait équilibre entre respect d'une tradition ancestrale et volonté permanente d'inventivité et d'ingéniosité, les ustensiles De Buyer sont à la cuisine ce que le grillon est au foyer : son âme. L'ustensile de cuisine enrichit l'intelligence de la main dont il devient le prolongement. Fil rouge entre la maîtrise du geste et la qualité des matières premières à travailler, il concourt à la réussite des mets réalisés. Entreprise équipée d'outils de production modernes, De Buyer s'est dotée d'un centre de recherche interne. Il permet de répondre rapidement aux exigences de tous les utilisateurs, y compris les plus créatifs, et d'imaginer ce que sera la gastronomie de demain, tant en termes de produits alimentaires que de sources de chaleur. Une anticipation audacieuse et judicieuse des besoins des fins gourmets. La valeur ajoutée de l'entreprise De Buyer réside dans sa complète gestion de la chaîne de conception, fabrication et distribution de ses produits. Elle se démarque également par sa parfaite maîtrise de la transformation des matériaux. De Buyer est ainsi la seule manufacture au monde à transformer dans la même unité de production de la tôle, de l'aluminium, de l'aluminium revêtu, de l'inox, des multicouches, du cuivre, du silicone et de la fibre de carbone.
Si la société de Buyer met son savoir-faire au service des professionnels des métiers de bouche, l'élégance, le raffinement allié à la qualité et la grande variété de sa gamme ont depuis longtemps séduit un large public. Du chef étoilé à l'amateur gourmet, De Buyer s'adresse avant tout au passionné. Il lui ouvre le champ des possibles tant en cuisine qu'en pâtisserie. Chaque outil est pensé en priorité pour sa fonctionnalité. Pour parvenir à un résultat d'exception, De Buyer a mis en place une stratégie de collaboration avec des professionnels des métiers de bouche. Chaque produit est ainsi testé en amont par des chefs ou des pâtissiers, dans des conditions réelles d'utilisation. Également génératrice d'inventivité, cette collaboration permet à l'entreprise d'être en constante recherche de produits nouveaux qui amélioreront demain le quotidien des passionnés et assouviront leurs désirs créatifs.
Pas besoin d'utiliser la feuille de cuisson founie avec l'ustensile (ni aucune autre) du moment où votre pâte est assez solide (par exemple, fonds de tarte) et que le moule est bien beurré.
Testé avec des pâtes par crémage sur la grille de cuisson du four (pas le lèchefrite, qui ne laisserait pas circuler l'air), je suis surprise du résultat car je n'avais jamais goûté rien d'aussi bon.
Pour répondre la question, je l'ai testé deux fois avec la pâte proposée par Mercotte dans la "Tarte aux figues", qui n'est autre que la recette de fond de tarte de Pierre Hermé. Quant à la cuisson, j'ai aussi suivi les conseils de Mercotte, 25 ou 30 minutes à 150 ou 155 degrés lors de la première cuisson sans appareil et 160 ou 165 lors de la deuxième, une fois l'appareil ajouté (chaleur classique, de voûte et de sole, pas tournante).
Ensuite, tous les ingrédients sont bio (c'est peut-être pour ça que je trouve la pâte meilleure que chez les MOF), et je n'ai pas utilisé de sucre glace mais un mélange de rapadura et fleur de coco (je n'utilise jamais de sucre blanc; je mets toujours un peu plus de rapadura que de fleur de coco, car autrement le goût est trop caramélisé). D'ailleurs, la farine dont je me suis servie n'était pas T55, mais T45. Ça donne des fonds de tartes qui supportent sans aucun problème un appareil liquide (avec de la crème fleurette, par exemple).
Merci à vous pour vos recettes, que je consulte également.