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Je suis en région parisienne. C'est vrai, je m'en rends compte à présent, que c'était un peu kamikaze de se lancer comme ça sans filet, mais ma foi, c'est aussi un peu ma façon de fonctionner....je pars toujours en me disant que ça va marcher, sinon, je ne fais pas les choses! Toi aussi, c'est courageux, même si tu es toujours salariée. Ce n'est pas rien de changer, de toute manière.
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hello flying.; tu vois, j'avance tout doucement.; et la première étape (financement de la formation) est franchie.. je suis en train de préparer mon "cartable" de rentrée pour le 8 janvier.. à moi les spatules, les couteaux, les marquises etc.... sourire
et toi... quoi de neuf ? ton projet avance t'il ?
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bonjour et merci pour tes encouragements
mon parcours est moins audacieux que le tien puisque je suis encore salariée (plus pour très longtemps je pense) et que ma formation et mon salaire seront financées en grande partie par le Fongécif... ce qui est plus insolite peut-être, c'est mon métier (DRH) car un peu à contre courant de ce qui se voit habituellement.... je ne suis pas kamikaze et n'ayant qu'un salaire, j'ai en effet décidé de consacrer du temps pour apprendre le métier. avant de ma lancer.; et puis cette formation me permettra de me servir aussi de "SAS" afin de muter vers cette reconversion dans les meilleures conditions et sans transition franche. Après, je me mets à la recherche d'un resto (celui sur lequel j'étais l'an dernier ne semble plus à vendre....) et inch'allah... (je sais pas bien si on l'écrit comme ça). Te concernant, c'est courageux d'aller au bout de tes passions.. dans quelle région es tu ?
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bonjour ecnerolf
je ne vais pas te dire mon parcours sur ce site car cela prendrait trop de place .
ecris sur mon mail (si tu veux) et je pourrao te donner plein de bon renseignements
@+
jumpbleu@wanadoo.fr
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bonjour, j'attrape en cours....ou plutôt à la fin du sujet!
J'ai 37 ans,je fais aussi une reconversion, depuis 3 ans que j'ai quitté les bureaux. Chanteuse et "cuisinière", pour essayer de vivre de mes deux passions! Je n'en vis pas, ou à peine, mais je suis heureuse de ce choix : je cuisine pour des groupes, des stages, j'ai monté brièvement une société pour vendre des soupes sur les marchés, je fais le "repas" du mercredi pour des profs dans une école de musique.... et je compose et écris mes textes, pour les chanter.
J'ai en projet, à moyen ou long terme, d'ouvrir également un lieu, café-restaurant, sur Paris, ou ailleurs, pourquoi pas, avec des thèmes de musiques et de voyages. Une nourriture simple, mais bonne et copieuse. "Nourrir le corps et l'esprit", dans la joie.
Je n'ai pas de formation non plus, je suis à l'anpe sans toucher les assedics,j'ai commencé à me renseigner en début de semaine pour suivre des cours afin d'obtenir un cap ou un bep, mais c'est un peu tard je crois....N'ayant aucun revenu, j'aimerais trouver une formation prise en charge par l'anpe. Et je ne sais pas non plus s'il est plus intéressant de passer un cap cuisine, ou faire un "apprentissage" en cuisine, avec un chef....et dans ce dernier cas, comment entrer en contact avec des chefs intéressés?
Bon courage, verone92, c'est chouette d'être allée jusqu'au bout de ton projet!
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Mon projet est d'ouvrir une crêperie.
J'ai 25 ans et suis diplomé d'un BTS en commerce, mais la branche commerciale ne m'attire pas et après avoir travaillé pendant 2 ans en angleterre, je suis revenu en France avec l'objectif de créer ma creperie en angleterre.
Je vais suivre une formation intense de 2 semaines au Great j'aimerais ensuite joindre une crêperie et m'y former durant au moins un an. Ensuite on verra.
On peut se suivre mutuellement...
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je démarre début janvier une formation à Ferrandi pour préparer le CAP d ecuisine.. j'ai en effet décidé après mure réflexion de faire les choses dans l'ordre et pour me lancer dans une reconversion, de reprendre les fondamentaux : apprendre le métier...
je suis ravie car le Fongécif a accepté le financement de mon dossier.... voici les news...
et vous ? quel est votre projet ?
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Qu'en est-il de votre projet, un an après ?
Ca m'interesse beaucoup.
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je ne suis pas obligée.. mais les banques ont évoqué quand j'ai présenté en avant projet mon dossier qu'ils regardaient plusieurs choses :
. si le client (demandeur d'un prêt) est un technicien du métier
. s'il a des aptitudes à la gestion
. s'il a des aptitudes au marketing et à la pub
et bien sûr ensutie les chiffres de l'affaire.
Je souhaite me donner toutes les chances de réussir.. et s'il faut passer par une formation ma motivation est suffisante et je suis prête à "sacrifier" quelques mois pour acquérir une crédibilité dans ce métier.
En plus, vis à vis des fournisseurs, des clients, des employés, je pense qu'on est plus crédible si on est du métier.. en tout cas, c'eset maintenant mon point de vue..
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pourquoi et te vous oblige de faire une formation de cuisinier et ce que la banque vous la demandee pour le financement de votre projet ?
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Vivement fin novembre que tu nous tiennes informés...
Sinon, j'avais répondu à ton mail...Il a dû se perdre...
Je t'ai envoyé à nouveau un mail :)
Bye bye et bon courage
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bonjour à vous
je n'ai pas bien avancé car ma priorité : obtenir le financement de la formation de cuisine par le Fongécif.. et j'aurais des nouvelles seulement fin novembre pour une formation qui débute le 8 janvier. Tant que je n'ai pas de nouvelles, je n'avance pas trop (est-ce un bien ?) ne sachant pas si je vais être disponible ou non avant juillet 2007... je vous en dirais plus dans quelques jours...
Solenn.. je t'ai envoyé une réponse à ton mail... mais no news de ta part... et toi... tjs prête pour la formation en janvier ?
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bonjour j aimerais savoir si vous avez realise votre projet d auberge ?j ai moi aussi se projet avec mon mari.nous avons achetepour y faire aussi une auberge une vieille maison
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Des nouvelles Verone de ton projet ?
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Re tous,
Pour la question du prix du billet, de 530 euros (le moins cher que j'ai trouver en 7 ans) à 3300 euros (toujours en classe economique, mais en pleine période de vacances), c'a fait quand très cher pour beaucoup de personnes; surtout quand il y a une famille avec des enfants... Et là encore je ne parle que du billet. S'il faut prendre en compte l'hotel, la bouffe etc... Je ne parlais que du prix du billet qui je suis d'accord avec vous n'est pas cher (seulement si on peut prendre ses vacances en pleine période scolaire bien sur), mais dans le fond de la réflexion, c'est l'ensemble qui empêche beaucoup de Français de traverser l'océan. Je vous souhaite de tout coeur à tous les deux (vérone et flying) de réussir dans votre projet.
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bonjour slafleur,verone
ouaouh, je pensais etre le meilleur au monde question motivation mais je dois reconnaitre que j'ai trouvé mon maitre .LOL.
A moins de devorer tes livres,je pense qu'il preferont tes plats
j'espere de tout coeur que tu vas reussir mais moi je suis plus du côté de verone. Un bon restaurant à la campagne avec une clientele fidele qui fait du bouche à oreille.Une bonne prestation culinaire (tradionnelle/régionale) avec une touche personnelle d'invention.
Pour ce qui est du prix du billet d'avion pour aller visiter ton pays, je n'ai pas aussi cher que ça.C'est comme pour aller au restaurant ils faut avoir envie et l'envie mais pas de prix
@+
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Salut verone,
Pas de problème, bienvenue dans le "trialogue" maintenant lol.
Je suis entièrement d'accord avec toi, et c'est le petit côté négatif du projet. J'aurais également préféré la campagne mais bon... Je vais essayer de faire pour le mieux, en restant suffisement loin en banlieue pour avoir une belle qualité de vie, mais suffisemment près de la ville, pour que la clientèle ne soit pas découragée de venir. Et de tout façon il n'y a plus qu'en banlieue ou on peut trouver du stationnement. Moi un resto sans stationnement privé, faut même pas y penser, je vais ailleurs lol
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Salut flying,
J'aimerais juste apporter un peu de lumière sur une méprise. A la source, c'est ma passion pour la cuisine qui est à l'origine de mon envie de lancer mon propre restaurant. Personellement, comme je suis un amoureux de la cuisine asiatique, c'est ce genre de plats que j'aimerais également cuisiner avant tout (peut être un jour futur?). L'idée de créer un restaurant Québécois n'est pas né d'une envie de faire partager ma culture ou mes origines. Elle est née du constat évident de la clientèle pour le sujet, et de la lacune à y répondre. Depuis mon arrivée en France, je ne compte plus le nombre de personnes qui m'ont demandé de leur donner des exemples de mets typiquement québécois. Nombreux sont ceux qui m'ont également demandé de leur donner l'adresse de resto québécois en France si j'en avais. Donc de là une certitude quant au succès à savoir si il y aura un type de clientèle. Il n'y a également pas de concurrence (mes recherches m'ont permis de trouver un restaurant québécois en bretagne ouvert depuis moins d'un an). Voilà en gros pourquoi j'ai décidé de me lancer dans la gastronomie Québécoise. Les chances de succès sont nettement plus élevées.
Ensuite pour ce qui est du concept globale culturel, cela découle de source. Il y a deux raisons pour lesquelles j'aimerais dépasser le simple restaurant. 1-La raison psychologique: Beaucoup de français aiment la culture Québécoise et la plupart ont envie d'aller visiter le québec un jour. Peu d'entre eux auront les moyens de se payer un billet d'avion. Le fait de transformer un simple repas en un mini voyage par immersion totale, de réussir à leur faire oublier pendant une heure ou deux qu'ils sont physiquement en France, résultera en un souvenir mémorable pour eux qui déclenchera (je l'espère) un mouvement de bouche à oreille. Et un envie de revenir pour goûter autre chose également. 2- La raison économique. Beaucoup de produits utilisés dans les recettes n'existenet tout simplement pas en France, et il n'existe souvent aucun équivalent. Il me faudra donc importer directement du Québec uen partie des ingrédients. Cela se traduit par un surcoût évident pour produire une assiette. Le prix du couvert doit donc malheureusement se situé dans une fourchette haute afin de rentabiliser le projet. Pour qu'un client soit satisfait, il faut qu'il trouve une raison suffisante pour accepter de débourser d'avantage que ce qu'il estime comme étant le prix juste d'une assiette. La solution est donc d'offir plus qu'un repas. Un souper spectacle par exemple. Un souper qui s'intègre dans une soirée à thème etc... Je répond donc à deux besoins (découverte du Québec et financier) en une seule solution, qui demande un peti coût d'invesstissement au début (décor, droit d'auteur pour faire tourner des disques ...), mais qui ne génèreront ensuite plus de surcout. Ou presque plus.
Pour ce qui est des habitudes françaises, mes 6 dernières années enFrance m'ont appris beaucoup. Si la première réaction est assez boulversante au début, le français s'adapte très vite et fini habituellement par se prendre dans cet ambiance détendue et avenant qu'est celle du Québec. Comme le tutoiement par exemple. Combien de Français en voyage chez moi, m'ont dit avoir été très choqués pendant les premièrs minutes dans le restaurants, d'entendre les serveuses les tutoyer comme des amis? Mais passer les quelques premières minutes, puis à la fin de la soirée et avec le recul, ils m'ont tous dit avoir franchement apprécié le sentiment de se sentir libre de toutes les contraintes psycho-sociales, et d'avoir l'impression d'être aussi à l'aise qu'à la maison. Plus besoin de faire attention à ce qu'on dit, de prendre la petite fourchette pour ceci, la moyenne cuillère pour cela et tous ces protocoles ridicules, qui finissent par nous pourrir la vie parcequ'il nous forcent à faire gaffe à ce que les autres vont dire si on se trompe... Donc je ne crois pas que ce bousculement soit un problème. Je pense qu'au contraire, ce "choc" culturel est amusant à vivre, et est franchement bienvenu quand on sais recadrer les choses.
Hé hé, je devrais peut-être écrire des romans moi au lieu de lancer un resto! lol
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hello je me permets de me mêler à votre dialogue....
à mon avis, un resto avec un concept type le projet dont du parles est intéressant si l'emplacement lui permet de drainer une clientèle variée et plutôt cosmopolite. Les restos à concept sont situées plutôt en ville et plutôt dans des grandes villes... afin de permettre à la population locale ou de passage d'avoir un vaste choix dans les divers concepts des restos.
Par contre, lorsque l'on envisage comme moi un resto en province et plutôt à la campagne, il faut une offre qui soit suffisamment "neutre" afin de satisfaire la plus grande moyenne et surtout faire en sorte qu'il y ait fidélisation de la clientèle.
C'est mon avis... mais je ne reste pas fermée à d'autres avis sur ce sujet...
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bonjour slafleur
pour moi l'essentiel, c'est la culture du pays.tu dis vouloir a travers ton restaurant faire connaitre a ta clientele l'essence même de tes origines.comment vas tu proceder sachant que le francais est reticent lorsque l'ont bousculent ces habitudes.il y a temps pour tout, faire la fête,et decouvrir les originalités d'un pays a travers sa gastronomie.
je le sais car je voyage et c'est l'image qu'ont de nous les populations etrangeres
la reputation du peuple du francais n'est-elle pas faite sur sa gastronomie,son pays et ses femmes?
Même si j'abonde dans ton sens et je pense que sortir ce n'est pas simplement aller au restaurant mais aussi bien s'amuser,il faut avoir une bonne dose de courage pour mener a bien ton projet
@+