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TPE, Stévia, Marion
Partie III Ses bienfaits, ses manques.
La Stévia a un pouvoir sucrant très grand, mais ne comportent pas les caractéristiques considérées comme "inconvénientes" par certains, telles que les calories ou le taux de glucose. Elle joue le rôle d’un édulcorant, comme l’aspartame par exemple mais personne n’a prouvé que la stévia était cancérigène.
1) Ses vertus pour les diabétiques.
Le diabète sucré est une maladie liée à une défaillance des mécanismes biologiques de régulation de la glycémie. Les diabétiques ont une concentration de glucose dans le sang souvent trop haute. Ces derniers doivent donc réduire leur consommation de glucose de façon à ne pas avoir un taux trop élevé dans le sang.
La stévia, ne contenant aucune trace de glucose, est donc une solution envisageable pour permettre aux diabétiques de pouvoir manger sucré. Cette plante a également prouvé une capacité à diminuer l’intolérance au glucose. En plus d’aider au jour le jour les diabétiques, la stévia serait alors à la longue une probable solution pour guérir du diabète.
2) Ses plus par rapports aux autres édulcorant tels que l’aspartame.
Un édulcorant est un produit qui a l’avantage d’un goût sucré mais qui n’a pas les inconvénients des calories, des caries, etc.. Ce sont le plus souvent des ingrédients destinés à améliorer le goût d’un aliment en lui conférant une saveur sucrée. Certains édulcorants sont cependant cancérigènes et donc pas bénéfiques pour l’organisme.
L’aspartame, édulcorant artificiel découvert en 1965, est l’édulcorant le plus utilisé de nos jours. Il a un pouvoir sucrant 200 fois plus grand que le saccharose, comme la stévia. Mais des études montrent que l’aspartame aurait des effets néfastes sur le corps et qu’il serait même cancérigène. De plus, il a été prouvé qu’il aggrave certaines maladies. Le diabète en est l’exemple majeur, mais la liste est longue (Parkinson, Alzheimer, épilepsie, …).
A l’inverse, la stévia est un édulcorant purement naturel et donc sans substances cancérigènes. Les grandes firmes multinationales commencent donc à s’arracher la stévia. Mais cette vertu dérange et beaucoup d’études cherchent à prouver que la stévia est mauvaise pour la santé. Jusqu’à ce jour, aucune n’a abouti à cette conclusion. Les enjeux économiques sont énormes et la stévia révolutionnerai le marché de l’alimentaire si elle est était enfin reconnue comme complètement inoffensive pour l’organisme.
La Stévia a tout de même réussi à être acceptée dans une centaine de pays dans le monde dont la France où elle est actuellement en vente libre dans les magasins et les grandes surfaces.
De plus certains édulcorants sont certes, moins caloriques que le sucre de table, mais tout de même caloriques. Les grandes firmes multinationales commencent donc à s’arracher la stévia.
3) Le goût sucré sans calorie.
Cette plante a montré un potentiel pour guérir l’obésité notamment grâce à son absence totale de calorie. Elle est adoptée par beaucoup de personnes faisant un régime hypocalorique car elle permet de ne pas ressentir l’effet de frustration normalement présent en cas de réduction de sucre. Elle permet aussi peu à peu de guérir les maladies du comportement alimentaire. Notamment l’anorexie ou les malades refusent d’ingérer des calories. La stévia les aide donc à ré-apprivoiser petit à petit le goût sucré pour aller jusqu’à un progrès calorique.
(A compléter)
4) Sans aucun sucre.
La stévia a un pouvoir sucrant 200 fois plus élevé que du sucre de table.
Nous avons émis pour hypothèse que la stévia ne contient ni glucose, ni saccharose, ni lactose ni fructose. Nous avons donc fait une chromatographie des sucres pour vérifier cette hypothèse.
Les résultats n’ont pas été assez satisfaisants pour en tirer une conclusion claire. En effet, nous avons fait cette chromatographie avec des extraits de feuilles de stévia pure. (photos) Nous l’avons broyé dans de l’eau et de l’alcool pour en tirer un jus que nous avons utilisé comme migrateur. Mais nous aurions sûrement dû filtrer cette solution avant d’en mettre une goutte sur la plaque à chromatographie. Effectivement, la tâche de Stévia et longue, fine, et verte. Nous émettons donc une nouvelle hypothèse quant aux résultats de cette expérience : des particules solides de stévia n’ont pas réussi à monter par capillarité jusqu’à là tâche de son sucre, ce qui a faussé les résultats.
Nous décidons donc de refaire cette expérience en filtrant le jus de stévia. Nous incluons également dans cette chromatographie de la stévia en poudre.